Parole de partenaire : Matthias et Trent de la société Eco Elio

Parlez-nous un peu de vous 🙂 

Nous sommes Matthias et Trent – cofondateurs et directeurs généraux d’eco elio ! 

Nous sommes un fabricant de crèmes solaires innovant dont l’objectif est d’inciter davantage de personnes à utiliser des crèmes solaires, sans que cela ne représente un fardeau pour la planète. Dans la plupart des sociétés, les taux de cancer de la peau continuent d’augmenter, alors qu’il s’agit d’un cancer évitable, à condition de se protéger du soleil de manière sûre, c’est-à-dire en recherchant l’ombre, en portant des vêtements et en appliquant sur la peau exposée un écran solaire doté d’un facteur de protection élevé (SPF). Plus de crème solaire signifie donc moins de cancer. Mais à l’inverse, plus de crème solaire signifie plus d’impact négatif sur l’environnement. Les crèmes solaires contiennent très souvent des ingrédients nocifs pour l’environnement, tels que des microplastiques, des silicones, des PFA, etc. Et les filtres eux-mêmes ont toujours un impact négatif sur l’environnement. Nous nous sommes donc fixé pour objectif de fabriquer la crème solaire la plus durable possible, de l’emballage à la formulation, en passant par la façon dont nous gérons notre entreprise. Et nous pensons que nous avons fait du bon travail !

Pourquoi notre cause vous tient-elle à coeur ?

Nous avons tous les deux des enfants et nous avons toujours été actifs dans l’eau. Trent en Australie – surf et natation. Et Matthias, dans le sud de l’Allemagne, fait de la voile. Lors de la conception d’eco elio, contribuer à la propreté et à la salubrité des voies navigables était donc une motivation importante pour nous. Lorsque nous avons découvert Coral Guardian, cette cause correspondait parfaitement à nos ambitions.

Parlez-nous de votre expérience ou de votre souvenir préféré dans l’océan.

Trent : mon expérience préférée a été de surfer en Indonésie. C’était une droite à Lombok. Le plus long barrel de ma vie ! Mais je dois aussi dire que j’ai attrapé un terrible coup de soleil lors de ce voyage – sur l’arrière des jambes après avoir passé la majeure partie de la journée dans l’eau, en short de surf, à pagayer – sans crème solaire….

Matthias : Pendant mes études à Singapour en 2007, j’ai eu la chance d’explorer l’Asie du Sud-Est. La plongée à Raja Ampat m’a stupéfié. Voir cette vie complexe et dense sous l’eau était fantastique. Je me souviens avoir vu mon premier hippocampe pygmée. Je n’oublierai jamais ce moment magique.

Qu’est-ce qui vous inquiète le plus dans l’état de santé actuel des récifs coralliens ?

Les récifs sont un élément important de l’environnement naturel mondial, pour les stocks de poissons et le maintien d’un écosystème océanique propre. Mais je pense que les bénéfices humains directs méritent également d’être mentionnés – pour le tourisme et les moyens de subsistance de millions de personnes dans le monde qui dépendent de la pêche et du tourisme. 

Ce qui nous inquiète le plus, c’est l’augmentation des taux de CO2 dans l’atmosphère et ce que cela signifie pour le CO2 des océans et l’acidification qui s’ensuit. Ce phénomène, combiné à la hausse des températures, signifie que l’écosystème des récifs est en déséquilibre historique et qu’il est soumis à une pression considérable. 

Soyons honnêtes, la crème solaire n’est pas le principal responsable de cette situation – c’est le changement climatique anthropique qui l’est. Mais la crème solaire y contribue : 14 000 tonnes de ce produit se retrouvent chaque année dans nos océans et nos cours d’eau. En réduisant la quantité d’ingrédients problématiques des crèmes solaires dans l’environnement naturel, nous pouvons donc avoir un impact positif sur nos océans.

Qu’est-ce qui vous apporte de l’espoir quant à la protection des récifs coralliens ? 

La prise de conscience est en marche. Les gens choisissent mieux les produits qu’ils achètent et exigent davantage des marques. Les gouvernements commencent lentement à faire des choix difficiles que la société ne souhaite peut-être pas faire. Les choses évoluent donc dans le bon sens. Est-ce qu’elles vont assez vite ? Cela reste à voir. 

Comment votre entreprise s’engage-t-elle pour protéger les écosystèmes coralliens ?

Notre formulation est le principal contributeur – et il y a deux modes d’action.

L’un par le biais des ingrédients que nous n’avons pas inclus. Comme nous l’avons mentionné, les microplastiques, les silicones, les PFA – de nombreux ingrédients contenus dans beaucoup de crèmes solaires n’ont rien à faire dans les océans. En excluant ces ingrédients de notre formule, 86 % des produits sont biodégradables. À notre connaissance, aucune crème solaire ne peut se targuer d’une telle qualité. 

Mais aussi grâce à l’inclusion de filtres respectueux de l’environnement. Nos filtres sont approuvés par EcoSun Pass. Il s’agit d’un système d’évaluation transparent qui compare l’impact environnemental des filtres contenus dans les crèmes solaires. Il va bien au-delà de la sécurité des récifs hawaïens et commence à adopter un point de vue scientifique sur les filtres UV et les dommages causés à l’environnement. Nous sommes l’une des rares marques à pouvoir affirmer que notre produit est approuvé par EcoSun Pass. 

Et bien sûr, nous reversons l’argent de chaque vente d’eco elio à Coral Guardian !